Depuis bientôt deux ans, l’on s’efforce dans les pays de l’Entente de dénaturer et de présenter à l’opinion publique des pays neutres, sous le jour d’un massacre général, la mesure de déplacement à laquelle le Gouvernement Ottoman avait dû recourir dans les zones militaires après la révolte générale des Arméniens.
Sans vouloir traiter à fond cette question qui dépasse le cadre de cet ouvrage, nous estimions qu’il est de notre devoir de réagir contre ces agissements, propres à égarer (...)